• Mar 11, 2024
  • 2 minutes

(UN News Center)
While a culture of human rights is emerging in Morocco, the authorities must do more to eradicate torture and ill-treatment, says an independent United Nations human rights expert.
“The situation on the ground regarding the practice of torture has generally improved from the past decades when there were widespread disappearances, secret detention and torture,” said Juan E. Méndez, the Special Rapporteur on torture.
“However, I received credible testimonies of undue physical and mental pressure on detainees in the course of interrogations. These events happen frequently enough to deserve attention and efforts to eradicate them,” said the expert, who wrapped up an eight-day mission to the country on Saturday.
Mr. Méndez noted that, while the practice of cruel treatment persists in ordinary criminal cases, treatment amounting to torture is frequently linked to highly charged events such as large demonstrations, a perceived threat to national security or terrorism.
“At those times a corresponding increase in acts of torture and ill-treatment during the detention and arrest process can be detected,” he said.
The expert found that prosecutors and investigative judges dismiss complaints of torture or fail to investigate such allegations. “The complaint system regarding allegations of torture and ill-treatment and investigation, prosecution and punishment of perpetrators, with the exception of a very few cases, seems to be in law only,” he said. “This gap between law and practice must be closed.”
He acknowledged the difficult situation for the authorities regarding the flow of undocumented migrants, particularly in the north of the country. At the same time, he voiced concerns about the increase of reported violence of security forces against this particularly vulnerable group.
“Severe beatings, sexual violence, and other forms of ill-treatment appear to be on the rise,” Mr. Méndez said. “I urge the authorities to take all necessary measures to prevent further violence and to investigate reports of violence against sub-Saharan migrants.”
During his mission, the expert met with authorities, the judiciary, civil society, the national human rights institution, UN agencies, as well as with victims and their families, in Rabat, Salé, Skhirat-Témara and Casablanca.
The mission also included a two-day visit to Laâyoune, Western Sahara, where he was “overwhelmed” with the vast number of requests to meet and the hundreds of cases received prior and during his visit.
“I was regrettably only able to meet with a sample of alleged victims and representatives of civil society but I will examine each submission in detail so that all information that falls within the scope of my mandate is considered.”
Independent experts, or special rapporteurs, are appointed by the UN Human Rights Council to examine and report back, in an unpaid capacity, on specific human rights themes.
Mr. Méndez will prepare a mission report with his observations and recommendations to be presented at a forthcoming session of the Council, which is based in Geneva.

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(Afrik.com) Après avoir remporté le poste de secrétaire général du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat veut désormais mettre un terme au gouvernement Benkirane I. L’élection de Hamid Chabat à la tête du parti de l’Istiqlal va probablement changer la donne au sein du gouvernement d’Abdelilah Benkirane. La politique marocaine pourrait bien donner naissance dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, au gouvernement Benkirane II. En tout cas, Hamid Chabat, par ailleurs député-maire de Fès et secrétaire général de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), a bel et bien l’intention de proposer un remaniement ministériel. D’après lui, une telle action ne doit pas être considérer comme « un mauvais pas ou quelque chose de négatif ». Il entend surtout redonner aux femmes une « certaine égalité vis-à-vis de la femme (…) et une représentativité des provinces du Sud » au sein du gouvernement, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à L’Economiste. « Quant à nos ministres, il faut reconnaître qu’à l’image de tout le gouvernement, leur rendement reste faible », a-t-il ajouté. Placer des ministres productifs Même si Chabat affirme le contraire, il existe au sein du parti certaines rivalités, notamment avec le clan El Fassi. Lors de la formation gouvernementale par Abdelilah Benkirane, Hamid Chabat a proposé de placer des membres de son clan à des postes ministériels. Abbas El Fassi, alors secrétaire général de l’Istiqlal, et le comité exécutif du parti, ont rejeté sa demande. A la place, ce sont des proches de l’ancien secrétaire général qui ont été promu au rang de ministre. Cette anecdote, Chabat ne l’a pas oublié. Il affirme vouloir proposer des ministres « qui descendent sur le terrain ». Le comité exécutif subira lui aussi un remaniement. Désormais, quatre sièges seront réservés à la Jeunesse istiqlalienne, dont le secrétaire général n’est autre qu’Abdelkader El Kihel, un proche de Hamid Chabat. Il fait d’ailleurs parti des personnes que Chabat voulait placer au sein de l’exécutif. Six places seront attribuées aux femmes, et seize autres sièges pour le reste des membres. Certains considèrent qu’il s’agit là d’un jeu politique instauré par Chabat. La loi de finances est une priorité pour Benkirane. Prendra-t-il le temps de discuter d’une éventuelle répartition des portefeuilles ministériels ? Chose certaine, Chabat fera tout pour y parvenir. D’une part pour continuer son combat contre l’oligarchie du clan El Fassi, mais aussi pour récompenser ceux qui l’ont soutenu durant sa campagne. En faisant pression, le secrétaire général de la deuxième force politique du royaume n’a pas le droit à l’échec. Hamid Chabat devra convaincre tout d’abord Benkirane qu’un remaniement au sein de son gouvernement s’impose. Le chef de l’exécutif devra avoir reçu le feu vert du roi. A l’instar du gouvernement Youssoufi I et II, Jettou I et II et El Fassi I et II, Chabat souhaite un Benkirane II. Un remaniement pourrait donc voir le jour en 2013, une fois le projet de loi de finances validé.

  • 11 Marzo 2024
  • 2 minutes

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